J-10 environ avant les arbitrages gouvernementaux sur les tarifs d’hospitalisation – en clair, les moyens donnés aux établissements de santé pour accomplir leurs missions…

La semaine dernière avait lieu à l’Assemblée Nationale un colloque destiné à restituer les conclusions du rapport de la mission d’information sur les urgences psychiatriques.

Après un interminable marathon législatif, la France s’est enfin dotée d’un budget de la Sécurité Sociale.

Le secteur de la santé sera sans doute l’un des plus impactés par les innovations en cours de développement, tant les capacités d’analyse et d’apprentissage de l’IA offrent de perspectives pour améliorer les diagnostics, les traitements et les parcours de soins.

A l’heure où j’écris ces lignes, les conditions politiques pour que notre pays puisse enfin se doter d’un budget et d’un budget de la Sécurité Sociale semblent être au rendez-vous. Que l’esprit de responsabilité prévale n’est pas seulement une bonne nouvelle, mais une nécessité absolue pour reconquérir de la stabilité et de la visibilité en 2025.

La permanence des soins est l’affaire de tous. Si les cliniques et hôpitaux privés sont déjà engagés, les travaux initiés par le ministère de la Santé doivent constituer une opportunité pour consolider ce sujet stratégique, au cœur des coopérations entre le secteur public et le secteur privé.

A l’occasion de l’exercice des « questions orales sans débat » à l’Assemblée Nationale, le ministre de la Santé a plaidé pour davantage de simplification dans le domaine de la santé.

Dans la partie « santé » de sa déclaration de politique générale, le Premier ministre a manifestement souhaité aller au-delà des principes, en formulant des engagements précis pour notre système de santé.

La présence des ministres Catherine Vautrin et Yannick Neuder, lors des Vœux de la FHP, a constitué pour la famille de l’hospitalisation privée réunie hier soir un signe de reconnaissance particulièrement apprécié.