3 février 2023
Etude européenne sur le risque cyber dans le monde de la santé
À destination de l’ensemble des personnes impliquées sur la gestion de ce risque numérique au sein des établissements de santé

La transformation numérique du secteur de la Santé est à l’œuvre dans tous les pays Européens et nécessite partout la même attention en termes de protection. Pour autant, des disparités dans les approches sont intéressantes à comparer. Afin de faciliter ce partage et cette compréhension, l’APSSIS a décidé de participer à une étude européenne sur le risque cyber des établissements de santé, en collaboration avec Relyens et les autres partenaires européens représentatifs. Cette étude vise principalement à évaluer et comprendre les différences de niveaux de maturité sur les différents segments représentatifs, d’approches en matière de gestion de risque et de pratiques. 30 minutes suffisent pour répondre à cette étude, confiée à un tiers pour garantir la confidentialité des réponses. A destination de l’ensemble des personnes impliquées sur la gestion de ce risque numérique au sein des établissements de santé (Direction, DSI, RSSI et Biomédicaux), elle est ouverte jusqu’à fin mars.

Accéder au questionnaire : https://resurvey.it/6v3wwt?ID=FHP%20%20%20

Vous serez peut-etre intéressé aussi par :

Édito de Lamine Gharbi (Président de la FHP) – Des soutiens, de toutes parts

Une étude d’opinion publiée en avril dans le journal La Tribune s’avère être riche d’enseignements, d’autant plus à l’aune des décisions politiques récentes sur les tarifs des établissements de santé, mettant en péril l’offre de soins. La santé y apparait en effet comme le deuxième sujet de préoccupation des Français, au coude à coude avec le pouvoir d’achat.

lire plus

Édito de Lamine Gharbi (Président de la FHP) – « Shaker » et potion amère

Nous voyons apparaitre dans les médias les mêmes « éléments de langage » pour tenter de justifier la campagne tarifaire 2024 qui a considérablement pénalisé l’hospitalisation privée. S’il a été jugé opportun de faire des « EDL », selon la formule consacrée, c’est bien parce qu’il est complexe de donner une légitimité politique à des décisions fondées sur l’arbitraire bien plus que sur la rationalité.

lire plus
Share This